Una
poesia di Maria Grazia Vai
Rodolfo
Vettor in
duetto con Maria
Grazia Vai
Musica
di Sefano Ottomano
Comme des feuilles qui stagnent le ciel
les
lumières qui ne trouvent pas la paix s'allongent
et
un grincement de pas
guide
ton absence.
Chaque
geste est un piétinement d'haleines,
un
long vacarme de chandelles,
d'ombres
et de nombres accrochés aux murs
et
de lèvres qui avaient paroles
et
fleurs palpitantes dans les jardins
Chaque
pas jaunit tout bruit
et
cette pluie qui ne veut pas se taire
me
raconte mille fois ton histoire,
mille
traces pour fouetter les empeintes
comme
un balancement de blé dessus le ventre.
Comme
des fleurs sur la nappe du dimanche
en
cette journée de fête
qui - te vêtit
-
de
cette couleur-là que seules mes mains
savent
dire, sans l'appeller par son nom.
Maria
Grazia Vai
Traduzione a cura di Oana Lupascu
Traduzione a cura di Oana Lupascu
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